Merci beaucoup pour ces commentaires
Je me concentre surtout sur cette histoire et je l'ai changer plusieurs fois, dont le début, c'est pour ça que je voulais votre avis. Voila la suite: Pourtant, sous la pâle lumière du clair de lune, une très belle femme courait à travers les bois, serrant contre son coeur un paquet cacher par un énorme manteau de fourrure. Ses cheveux noir ébène volait au rythme de sa course. Elle ignorait les branches qui lui cinglaient le visage, ou les épines qui lui griffaient les jambes et accrocher ses vêtements; elle fut recouverte d' égratignures sanglante en très peu de temps sans que le moindre cri de douleur ne se fit entendre. Son souffle s' accéléra, jusqu'à devenir un halètement rauque, essayant sans cesse d' avaler des gorgés d' oxygène qui semblait se faire de plus en plus rare. Ses mains rester crispés contre le manteau, et elle levait la tête pour sentir un peu d'air frais sur ses joues rougies.
Au bout d'un long moment, elle s' arrêta, déposa une créature apeurer sur le sol et tomba à genoux sur l' herbe humide de rosée, la main serrée sur son point de coté. Retenant ses larmes, l'enfant se débarrassa du vêtement et entoura sa mère de ses bras frêles, lui murmurant à l' oreille:
- On peut pas rester là maman, c'est dangereux!
Sa mère se releva péniblement et essuya la sueur qui coulait sur ses joues salies. Elle tituba légèrement, comme soûl puis se reprit. Son visage sembla se durcir et ses yeux se voilèrent.
- Je dois te laisser ici...Et moi, je pars, dit elle entre de grande goulées d'air.
- Quoi? Mais...mais les loups? Je veux rester avec toi! Ne me laisse pas toute seule ici!
- Dasy...Tu es en sécurité ici, dit la femme d'un air malheureux. Il n'y a pas d'autre solutions.
Pendant un cour instant, Dasy se demanda si sa mère n'avais pas perdu la raison. Quels excuses pouvait avoir une mère pour abandonner sa fille sans aucune protection, au proie à toutes les créatures de cette forêt? Mais après tout, elle savait que ça n'avait pas vraiment d'importance. Dasy voulait juste rester avec sa mère, et ne pas rester seule.
Un craquement sonore les firent soudain sursauter. La jeune femme déposa un baiser rapide sur le front de sa fille qui sanglotait.
- Un jour tu comprendras, souffla t elle. Et j'espère que tu me pardonneras.
Puis, elle se détourna et s' enfuit pour disparaître dans l' obscurité des sous bois.